L'avril
Posté : mer. 08 avr. 2009, 11:44
L’avril
C’est le temps de l’avril, le temps des giboulées,
Offrande de printemps au jardin renaissant,
Cascatelle d’argent abreuvant les allées,
Caressant les bourgeons du chêne frémissant.
C’est le temps de l’avril, le temps de l’hirondelle,
Qui s’en revient nicher dans le coin d’un vieux mur.
Elle a volé longtemps, apportant avec elle,
L’espoir de douces nuits et d’aurores d’azur.
C’est le temps de l’avril, le temps des primevères,
Palette de couleurs émaillant le gazon.
Ces délicates fleurs, chantées par les trouvères,
Revivent chaque année à la verte saison.
C’est le temps de l’avril, c’est le temps des semailles
Dans les champs déjà prêts à recevoir le grain.
La terre va tenir, au creux de ses entrailles
La promesse du blé qui lèvera demain.
C’est le temps de l’avril, le temps des amours neuves,
Pour les amants blasés qui n’ont plus de désir.
A quoi bon les regrets, qu’importent les épreuves,
Ils vont tout oublier à l’appel du plaisir.
C’est le temps de l’avril, le temps de l’espérance
Dans un monde plus beau, délivré de ses peurs,
Un monde de bonté, d’amour, de tolérance,
Où la paix règnerait à jamais dans les cœurs.
Sur un arbre du bois, un coucou s’égosille.
Peut-être dans le nid d’un bouvreuil loge-t-il.
Les oiseaux enivrés chantent dans la charmille.
C’est le temps du bonheur, c’est le temps de l’avril.
C’est le temps de l’avril, le temps des giboulées,
Offrande de printemps au jardin renaissant,
Cascatelle d’argent abreuvant les allées,
Caressant les bourgeons du chêne frémissant.
C’est le temps de l’avril, le temps de l’hirondelle,
Qui s’en revient nicher dans le coin d’un vieux mur.
Elle a volé longtemps, apportant avec elle,
L’espoir de douces nuits et d’aurores d’azur.
C’est le temps de l’avril, le temps des primevères,
Palette de couleurs émaillant le gazon.
Ces délicates fleurs, chantées par les trouvères,
Revivent chaque année à la verte saison.
C’est le temps de l’avril, c’est le temps des semailles
Dans les champs déjà prêts à recevoir le grain.
La terre va tenir, au creux de ses entrailles
La promesse du blé qui lèvera demain.
C’est le temps de l’avril, le temps des amours neuves,
Pour les amants blasés qui n’ont plus de désir.
A quoi bon les regrets, qu’importent les épreuves,
Ils vont tout oublier à l’appel du plaisir.
C’est le temps de l’avril, le temps de l’espérance
Dans un monde plus beau, délivré de ses peurs,
Un monde de bonté, d’amour, de tolérance,
Où la paix règnerait à jamais dans les cœurs.
Sur un arbre du bois, un coucou s’égosille.
Peut-être dans le nid d’un bouvreuil loge-t-il.
Les oiseaux enivrés chantent dans la charmille.
C’est le temps du bonheur, c’est le temps de l’avril.